Roumanie
Capitale : Bucarest
Elle est construite sur une boucle de la Dâmbovita.
La ville a été fondée en 1459, et était la capitale de la Valachie. En 2003, la population de la ville était de 2,082,000 habitants, avec une aire urbaine de presque 2,500,000 habitants.
Entre les deux guerres, la ville eu le surnom de "Petit Paris".
Selon la légende, le nom de la ville vient de Bucur, un berger qui s'est établi le premier sur l'emplacement actuel.
La Roumanie, carrefour d'influences occidentales et byzantines, est un pays dans lequel on communique facilement avec les habitants, comme on se lance éperdument à la découverte de son delta, de ses montagnes au nom évocateur, de ses paysages bien dessinés, de ses plaines fertiles et de Bucarest qui signifie littéralement « la ville de la joie ».
238,390 km2
22,387,000 habitants
roumain
leu (pluriel : lei)
La Roumanie est un pays miracle parce que le myope recouvre la vue lorsqu'il aperçoit les portes sculptées du Maramures et les toits enneigés des Carpates, et aussi parce que le sourd finira par entendre le chant des oiseaux dans les méandres du Danube. Oui, la Roumanie est un beau pays car elle optimise nos sens, et si les ombres du passé nous voilent l'horizon, comme les produits de la systématisation, elles seront occultées par l'impression générale. Vous serez aussi fasciné par l'histoire de ce pays qui a connu une série de luttes pour l'indépendance, pour l'honneur et pour l'espoir d'un prochain équilibre au sein de l'Europe.
République unitaire, pluralité des partis.
Démocratie parlementaire : régime semi-présidentiel comprenant un président de la République, un Premier ministre et un Parlement composé d'une Chambre des députés et d'un Sénat.
Traian Basescu, élu le 12 décembre 2004.
Ce pays prend alors toute sa dimension parce qu'il est accompagné d'une parole souvent française, d'un sourire ou tout simplement d'une main tendue.
L'année 1989 marquait la chute de Nicolae Ceausescu et la fin du communisme, mais également la difficile entrée dans l'économie de marché. Alors que 1993 était apparue comme « l'année de tous les dangers », la situation financière et monétaire s'estnormalisée en 1994. L'inflation a été de 150% en 1997, pour descendre à 60% en 1998 et à 34,5% en 2003, ce qui a permis de redresser la balance commerciale grâce à l'augmentation des exportations et d'attirer les investisseurs étrangers, mais a provoqué inévitablement une augmentation du chômage (un peu plus de 10,5% en 2002). La reprise économique s'est donc très peu répercutée sur le niveau de vie, et les indicateurs sociaux en matière de santé et de petite enfance sont parmi les plus bas des pays de l'Est.
